dimanche 8 juillet 2007

Enfin des niouz!

Bon.... Le premier contact avec internet a HDKote a ete si desastreux que nous sommes restes silencieux.

Une semaine entiere a raconter... et quelle semaine!!!

Les generalites d'abord. Nous sommes bien arrives a HDKote mardi matin dernier. Sans nos bagages qui sont restes coinces a londres.

Toute une epopee : le paris londres avait une heure et demie de retard, le lomdres mumbai etait parti sans nous, on a passe une nuit a faire la queue : dans l'avion, immobilise au sol 20 minutes, au comptoir de british airways qui nous dit qu il faut aller a l hotel et appeler un numero des notre arrivee ouvert 24h/24, une queue inattendue et gargantuesque pour sortir de l'aeroport et passer la douane (a mon avis 300 metres de queue avant d'arriver aux longs tortillons d'aeroport), l'attente dans le bus affrete par british airways (platform number 27 et pas 17 comme indique, a devenir fou), l'attente a l'hotel, environ 100 metres de gens fatiguesdans la meme situation que nous, et au final, le numero indique bien sur non disponible la nuit. Il est 3h du matin (nous sommes partis a 17h de chez nous a paris), et on peut aller diner. Dodo 3h, appel au petit matin du numero en question, qui s'avere etre le serveur vocal general de British Airways!!!Ocuupe, occupe, musique d'attente... au bout de 30 minutes et 20 euros, on part a l'aeroport.

On a bien fait. le petit dejeuner etait a 7h a l'hotel, on arrive avant la foule. Et quelle chance (lire, quel esprit commercial!). "You are lucky, i book the two last seats of the 11.15 am flight to mumbai". Les deux dernieres dis donc. Nos bagages "Ils suivront, pas de probleme, promis, jure, crache".

Arrivee a mumbai quelques heures apres... Une nouvelle petite attente d'une heure pour les bagages, NOT HERE. Nouvelle petite queue au comptoir de reclamation... J'achete une puce telephone pour qu'ils puissent nous joindre partout, on laisse une adresse.

Une semaine apres, toujours rien. On appelle, no update, no update, we will call you back today, ce qui ne manque pas de ne pas arriver...

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